Charte du président ou convention des administrateurs : pourquoi la signer ?

Un formalisme associatif à portée symbolique
La charte du président doit être signée, lors de toute nouvelle élection, entre le candidat élu, l'autorité de tutelle (diocésaine ou congréganiste) et le président de l'Urogec. L'autorité de tutelle doit d'ailleurs donner un avis favorable à l'élection ou la réélection du président (art. 12 des statuts d'Ogec). Cette lettre est l'occasion de créer ou recréer du lien avec l'institution.
La convention des administrateurs est signée entre le bénévole élu et le président de l'Ogec.
Au-delà des enjeux de formalisme associatif, c'est un acte "symbolique" qui permet d'aligner nos attentes et de favoriser le dialogue autour d'objectifs communs.
Concilier mandat d'Ogec et mandat municipal aux élections de mars 2020
La note précise également que tout bénévole engagé dans un Ogec et qui se présente aux élections municipales en mars 2020 ne peut se prévaloir de son bénévolat d'Ogec comme argument de campagne.
En outre, tout administrateur d'Ogec, chef d'établissement ou membre d'Apel, qui serait élu au sein du Conseil Municipal de la commune dont dépend leur école, ne peut assister aux délibérations qui concernent l'établissement telles que forfait, mesures sociales, mises à disposition de locaux,...